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« Le sexe mais aussi l’esclavage sont des partenaires naturels avec un monde imaginé par l’homme. Sur la Asie, ils se trouvent être absolument inséparables. Ces femmes esclaves tournant autour du sont un négoce intrinsèque de une domination masculine avec les sociétés asiatiques. Ils participent à un jeu vicieux que les hommes jouent avec la majorité des femmes. Elles se présentent comme les abusées, ces stigmatisées, et un poids amer des valeurs asiatiques. 1Près de neuf abondamment de touristes ont visité la Thaïlande en l’an 2000, parmi lesquels 65 à 70 % sont de la gent masculine. Avec d’intenses campagnes médiatiques de sensibilisation contre le tourisme sexuel et beaucoup de batailles judiciaires à l’ennemi des abuseurs d’enfants en Asie & ailleurs, le domaine - si prospère pour beaucoup , du tourisme sexuel en Thaïlande ne paraît guère vouloir se tarir. Click on %domain_as_name% , la demande s’élargit et se diversifie: après les « traditionnels » Européens - ou plus généralement en même temps qu’eux ,, des Chinois fortunés, à l’instar des comités d’entreprises japonais, louent des cars entiers de jeunes filles; un tour opérateur israélien experte dans les sex-tours d’un genre nouvel envoie exclusivement des femmes en mal d’affection quêter du fruit défendu à des prostitués à Bangkok; les pédophiles continuent par ailleurs d’affluer à Pattaya, dans Chiang Mai, à Bangkok ou autre part, et n’oublions surtout pas la masse impressionnante de « consommateurs » nationaux… 2Depuis, de trop multiples tour opérateurs, tantinet soucieux d’éthique et convaincus que un sexe rapporte d’abord de l’argent, n’éprouvent guère d’états d’âme, comme le remémores Bernard Formoso: « Le Farang lequel visite dans une journée les demeure et pagodes dorées et qui assiste le soir dans un sex spectacle ou s’essaye au ‘massage’ thaïlandais, entouré d’hôtesses en atours légères, est le cliché d’une triste banalité » (2001: 57). Bref, pas grand chose donc de réellement nouveau au pied du sapin paradis de Thaïlande, au cas où ce n’est cette perpétuation de cela « tourisme relatives au la honte » (Michel, 2002: 214-217) sous des formes réadaptées aux exigences d’une mondialisation effrénée. Le présent éditorial dresse un sur place bilan du tourisme sexuel en Thaïlande tout en tentant de déceler les racines du désordre et d’explorer la majorité des moyens d’en éradiquer ses aspects les plus détestables, aux séquelles particulièrement morbides. 3La Thaïlande, oasis de silence - devenue cette relative, notamment cette zone de Phuket, depuis l’attentat relatives au Bali en octobre 2002, et la fermeté affirmée d’Al-Qaïda d’atteindre des « pointes molles » sur la Asie du Sud -, au don d’un continent actuellement voué à l’instabilité chronique et par rapport aux soubresauts indéniables, jouit d’atouts certains lequel expliquent en se retirer son « le trafic qui vous manque » dans ce domaine de l’économie, sous dépit de sa face sombre qu’est l’industrie du pénis et de l’inquiétante proportion que acclimatées occupe au coeur même de le comportement économique nationale. À cette fin du temps 1990, près de 600 000 emplois relevaient directement du tourisme et la Thaïlande était de à mille lieues la première fin récréative en Terre du Sud-Est, de ce fait que le capital lieu d’implantation un ensemble de grandes chaînes logeuses internationales dans la région. Entre 1993 et 1998, le nombre de visiteurs est passé du 5, 7 à 7, 8 abondamment, soit d’une croissance d’un tiers sur la l’espace de dix ans. 4La manne financière qui en découle est très diversement répartie et l’activité touristique se concentre selon un pivot nord-sud ayant Bangkok pour centre: « Le pôle de pauvreté du Nord-Est, quoique riche sous sites archéologiques, était complètement tenu chez l’écart des tromperie des voyagistes & était par conséquent seule équipé » (Ibid: 154). Sur le « succès » repose également ce terreau du tourisme sexuel qui, dans ce jour, rapporte trop d’argent dans tout le monde (l’État et les particuliers) pour que de nombreuses voix dissonantes dominent se faire sympathiser dignement. 5Où sur la est-on aujourd’hui? deux cents à trois cents 000, soit quand même de 8, trois à 12, moins de 10% des femmes de la tranche des 15-29 ans propriétaire en ville; auxquelles s’ajouteraient de 25 000 à 30 000 filles du moins de 15 ans et de 30 à 50 000 garçons ou jeunes hommes lequel satisfont la clientèle pédophile ou homosexuelle. 6Selon d’autres estimations, plus de 300 000 enfants seraient aujourd’hui exploités au sein de l’industrie du pénis en Thaïlande. 4 Soldat de l’armée américaine.
